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Victor Marguerite
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Victor Marguerite
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14 mai 2011

Ayacks

Un dessinateur fonctionne bien souvent au coup de coeur: il faut avoir envie de rentrer dans l' univers écrit par un autre et on ne trouve pas des gens qu' on a envie de mettre en image à tous les coins de rue. Sybille fait partie de ces scénaristes qui me font tenir un crayon et dés qu' elle a commencé à produire des idées dans la team Ferelden j' ai voulu dessiner ça,

un extrait de sa prose et les premiers dessins qui en ont découlé, avec son texte en fichier joint( si je trouve comment ça marche):Ayaks

Ayaks (les grandes lignes)

Origine

Pour bien des gens, ce peuple n’est qu’une légende. Une histoire racontée aux enfants désobéissants pour leur faire peur. « Si tu ne rentres pas avant le coucher du soleil ou si tu n’es pas sage, les Ayaks viendront dans la noirceur de la nuit pour t’enlever, te torturer et finalement te manger ! ».

Mais, (au contraire du Père Noël ou du bonhomme 7 heure), les Ayaks existent réellement. Il y a plusieurs siècles, les Ayaks inspiraient la terreur sur l’ensemble des Terres perpétrant carnage par-dessus carnage. Il est dit qu’un jour, un groupe de mages très puissant d’une très grande et très rare magie furent convoqués par le roi (? De l’époque). Le roi et ses alliés chassèrent les Ayaks du mieux qu’ils purent, mais leur stratégie consistait surtout à tous les repousser vers le sud…un territoire tout désigné…Le piège des mages.

Nul ne sait vraiment en quoi consistait exactement la magie des mages, mais à partir de ce jour, toutes les terres devinrent plus « sécuritaires ». Pour les Ayaks ce fut leur plus grande défaite. Ils se retrouvèrent piégés à l’intérieur d’un territoire donné (incapable de dire s’il s’agit d’une barrière magique ou d’une autre dimension), condamnés à lutter pour leur survie, car ce territoire était un immense terrain de chasse où ils étaient les proies. Des bêtes tout droit sorties de l’enfer, jamais vues jusqu’ici peuplaient ce territoire et chassaient les Ayaks. Ce lieu devenu leur prison. La lutte pour leur survie, leur condamnation.

Un châtiment efficace qui eut pour effet de dissoudre une grande partie des Ayaks. Cependant, au fil des ans, certains d’entre eux (comme n’importe quel peuple) s’adaptèrent à leur environnement. Affinant leurs talents de guerrier et de chasseur, tout comme leur intelligence et leur ruse. Certains apprivoisèrent même leurs dits prédateurs.

Alors que les Ayaks demeurent un mythe pour certains, d’autres affirment qu’ils ne sont pas tous morts et que certains d’entre eux auraient trouvé le moyen de s’évader de leur prison « magique »….

Description physique

Comme s’ils avaient baigné dans les flammes de l’enfer, leur peau est noircie et/ou rougie. Si géant il existait, on pourrait leur prêter ce nom, ils sont corpulents et robustes. De nombreuses cicatrices défigurent leur visage et leur corps est transpercé à divers endroits par des objets métalliques (anneaux, barre de fer, etc.). Leur chair est parfois mutilée pour y « dessiner » des genres de tatous, mais avec le sang (ou la cicatrice que cela forme). Il n’est pas rare de voir leur corps amputé (coupure de la langue ou oreille, absence d'un oeil, etc.). Leur physionomie est synonyme de terreur…et tel est leur souhait.

Philosophie, us et coutume

Les Ayaks sont un peuple de barbare d’une extrême violence. Cependant, ceux qui ont survécu à leur châtiment ont quelque peu évolué. Les rituels concernant la chair et le corps sont partie intégrante de leur philosophie…Ils pratiquent eux-mêmes le « dessin » de la chair à l’aide d’une lame chauffante, et s’infligent leurs amputations. Ces gestes sont perçus comme une marque de courage et inspire du coup la terreur face à celui qui « supprime » la douleur.

Pour survivre, ils ont dû abandonner un peu de leur brutalité animale pure pour y ajouter un peu de finesse et de tactique. Certains d’entre eux ont réussi à apprivoiser une créature de « l’enfer », et donc ces bêtes, devenues dociles, suivent et aident les Ayaks. (C’est probablement de cette façon qu’ils réussirent à sortir de leur ‘prison’.)

Bien entendu, ils vivent en périphérie de la ville. On a beau dire qu’ils ont « évolués », les Ayaks demeurent des barbares d’une extrême violence. Simplement plutôt que de mettre les villes à sang et à feu, de tout piller et de violer tout ce qui bouge, ils tentent désormais de faire « profil bas »…sans nécessairement oublier leur nature.

Compagnon possible
(je passe les raisons pour le rencontrer…à déterminer avec les autres)

Un personnage qui pourrait venir avec sa « bête des enfers » qu’il a apprivoisé. (Autre qu’ours, loup, araignée…) Même si ses instincts de « ravageur » se sont un peu calmés, reste que c’est le personnage le plus violent (il n’ira pas violer toutes les femmes, mais il pourrait suggérer la torture pour son amusement)….mince frontière…des pulsions refoulées.

J’arrête là avant d’écrire 5 pages. Désolée si je ne suis pas clair, j’ai beaucoup de difficulté à résumer mes idées.

Ayak guerrierAyak coureurAyak scissorhandsAyak amazoneAyak tank

 

 

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